Philippe Bouvard a 95 ans ! Dans un entretien publié ce vendredi 6 décembre par RTL, le journaliste évoque sa santé fragile et révèle avoir perdu la vue cinq ans auparavant.
Peut-être célébrez-vous votre anniversaire ce vendredi 6 décembre. Si tel est le cas, sachez que des personnalités sont également concernées, à l’instar de la princesse Sofia, un bel atout pour la couronne suédoise, mais aussi de Philippe Bouvard, qui souffle ses 95 bougies. Pour cette belle occasion, le célèbre journaliste s’est confié à RTL. Au cours de l’interview, il s’est notamment exprimé au sujet de sa retraite : “J’ai pris la décision, mais peu à peu, de me retirer, de dire au revoir ou de dire adieu. […] 95 ans révolus, ça permet quand même de prendre la retraite le cœur serein !” Il s’est aussi livré à cœur ouvert sur ses ennuis de santé.
Prendre de l’âge est, pour ceux qui ont la chance d’aller bien, un bonheur. Malheureusement, Philippe Bouvard a vu sa vie basculer lorsqu’il a perdu l’un de ses cinq sens. “J’ai perdu la vue, il y a déjà beaucoup de temps. J’étais un jour au casino de Monaco [et] subitement, tout est devenu noir. J’ai été voir le médecin oculiste et les différents opticiens. Ils m’ont dit que ça allait s’arranger. Ça fait cinq ans et ça n’a jamais repris”, a expliqué à nos confrères celui qui a longtemps animé Les Grosses Têtes . “Alors, évidemment, c’est un gros problème”, a-t-il concédé. Avant de conclure, philosophe : “Vieillir, ça ne va pas sans handicap.”
Philippe Bouvard a 95 ans : le journaliste honoré dans un documentaire
C’est en janvier 2025 que l’époux de Colette prendra officiellement sa retraite, après plus de six décennies de carrière. Dans ce contexte, un récent documentaire – intitulé Les Mille et une Vies de Philippe Bouvard – a été présenté le 30 novembre à Cannes. Un événement auquel le principal intéressé a pris part, en dépit de son état de santé fragile, qu’il a déjà évoqué à l’automne 2022 dans C à vous (France 5), disant avoir des problèmes de vue et d’ouïe : “On ne peut pas atteindre 93 ans comme je le fais sans que la nature vous lâche un petit peu. L’essentiel, surtout quand on fait notre métier, c’est qu’il reste quelques lobes du cerveau.”