Après des mois de spéculations, le couple médiatique formé par Annaïg Le Goff et Alexandre Marceau a enfin levé le voile sur le prénom de leur premier enfant. Et contre toute attente, leur choix a pris tout le monde par surprise : un prénom rare, chargé d’histoire, qui rend hommage à leurs origines bretonnes et celtiques.
Une naissance très attendue
Depuis l’annonce de la grossesse d’Annaïg en octobre dernier, les fans du couple n’avaient qu’une hâte : connaître le prénom du bébé. Très suivis sur les réseaux sociaux, les deux influenceurs — elle ancienne journaliste culturelle reconvertie en créatrice de contenu, lui photographe de renom — ont su entretenir le suspense jusqu’à la dernière minute.
La naissance de leur enfant, survenue le 1er mai à l’aube dans une clinique privée de Saint-Malo, avait déjà provoqué une vague d’émotion sur Instagram, où des centaines de milliers d’abonnés ont félicité les jeunes parents. Mais un mystère persistait : comment allaient-ils appeler leur bébé ?
Un choix loin des tendances actuelles
Alors que beaucoup pariaient sur un prénom classique comme Léon, Camille ou Éléa, ou même un prénom anglo-saxon tendance comme Noah ou Lily-Rose, le couple a choisi de se démarquer. Dans une publication émotive partagée ce samedi, Annaïg et Alexandre ont dévoilé le prénom de leur petite fille : Maëlysenn.
Un prénom aux sonorités douces mais inhabituelles, qui a immédiatement suscité la curiosité des internautes. Dérivé du prénom breton Maëlys, auquel a été ajouté un suffixe poétique, « -senn » — inspiré de « Gwenn ha Du » et des traditions du pays de Cornouaille —, ce choix singulier est bien plus qu’un caprice de célébrité : c’est un hommage fort à leur héritage culturel.
Une signification profondément symbolique
Dans leur message, Annaïg explique :
« Nous voulions un prénom qui ait du sens, qui parle de notre histoire, de notre famille, de nos racines. Maëlysenn est une création personnelle, mais elle incarne tout ce que nous aimons dans la Bretagne : la force, la poésie, l’ancrage. »
Alexandre renchérit :
« Mon grand-père m’a toujours raconté les légendes de Brocéliande et les chants de marins. Nous voulions transmettre un bout de cette mémoire à notre fille. »
Maëlysenn, bien que rare, s’inscrit dans cette mouvance de prénoms néo-bretons qui cherchent à conjuguer tradition et modernité. Le couple affirme avoir longuement hésité avec d’autres prénoms celtiques comme Aziliz, Enora ou Soazig, mais c’est finalement leur propre invention qui a gagné leur cœur.
Un engouement immédiat sur les réseaux sociaux
Peu après la révélation du prénom, le hashtag #Maëlysenn est monté en tendance sur Twitter France. Les commentaires oscillent entre surprise, admiration et inspiration. De nombreux abonnés saluent le courage du couple de ne pas avoir cédé à la facilité en optant pour un prénom à la mode, et d’avoir préféré un choix personnel, original et culturellement ancré.
« C’est magnifique, ça change des Mila et des Jade qu’on entend partout », écrit une internaute.
« Maëlysenn, c’est poétique, c’est fort, j’adore ! Merci de remettre les prénoms bretons au goût du jour », commente un autre.
Certains futurs parents ont même confié avoir noté le prénom dans leur liste, preuve de l’influence réelle qu’exercent Annaïg et Alexandre dans le paysage médiatique français.
Une déclaration d’amour à la Bretagne
Originaire de Quimper pour elle, et de Lannion pour lui, le couple revendique depuis longtemps son attachement à la Bretagne. Leur maison principale, une longère rénovée nichée dans les Côtes-d’Armor, a souvent été mise en scène dans leurs vidéos, entre galettes au sarrasin, balades en bord de mer et chants traditionnels bretons.
Ce n’est donc pas un hasard si leur fille porte un prénom qui semble sorti d’un vieux conte armoricain. « On voulait qu’elle porte un morceau de notre terre natale, même si elle grandit ailleurs », précise Annaïg.
Le baptême civil de Maëlysenn, prévu cet été à Locronan, devrait lui aussi être riche en symboles. Selon les proches, le couple envisagerait une cérémonie laïque mêlant musique celtique, poèmes bretons et vœux d’engagement à la terre et à la transmission culturelle.
Et après ?
Alors que les fans espèrent déjà voir le visage de la petite Maëlysenn, Annaïg et Alexandre ont été clairs : ils souhaitent préserver l’intimité de leur fille autant que possible. « Partager une partie de notre vie ne veut pas dire tout exposer. Maëlysenn aura le choix, plus tard, de se raconter à sa façon. »
Cette déclaration mature a été largement saluée par les internautes, qui voient en ce jeune couple un exemple d’équilibre entre vie publique et vie privée.
Mais une chose est sûre : avec un prénom aussi unique que Maëlysenn, la petite fille ne passera pas inaperçue. Et si elle hérite ne serait-ce qu’un peu du charisme et de la créativité de ses parents, nul doute qu’elle marquera à son tour les esprits.