Le 5 décembre 2017, Johnny Hallyday s’éteignait à l’âge de 74 ans. À l’occasion du 7e anniversaire de sa mort, sa fille Laura Smet évoque sa disparition et fait notamment des révélations sur ses funérailles.
Il y a déjà 7 ans, Johnny Hallyday rendait son dernier souffle à 74 ans. Un choc pour ses fans et surtout ses proches alors qu’il luttait depuis longtemps contre son cancer du poumon. Rongé par la maladie, c’est dans sa demeure de Marnes-la-Coquette que le Taulier s’est éteint le 5 décembre 2017,
entouré de sa femme Laeticia et leurs deux filles, Jade et Joy. Quelques jours plus tard, le 9 décembre 2017,
un hommage populaire lui était rendu lors de ses obsèques en l’église de la Madeleine, à Paris, avant que le regretté chanteur soit inhumé au cimetière de Lorient à Saint-Barthélemy.
Deux moments très émouvants où le clan Hallyday était réuni pour faire ses adieux à celui qui est parti dans d’atroces conditions. A l’occasion de l’anniversaire de la mort du rocker, sa fille Laura Smet s’est confiée pour la première fois sur la disparition de son père et son difficile deuil dans les colonnes de Paris Match.
Laura Smet choquée par l’inhumation de Johnny Hallyday à Saint-Barth
Si la comédienne de 41 ans a évoqué sans aucun tabou les derniers instants de Johnny Hallyday ou encore le droit moral sur les chansons de ce dernier qu’elle détient avec son frère David, elle est aussi et surtout revenue sur les funérailles de son défunt père. Un moment aussi déchirant qu’inattendu pour elle. “J’étais complètement absente. J’ai eu des acouphènes, j’entendais des sifflements dans mes oreilles. Je n’ai rien compris à cette journée. Je ne savais pas du tout que ça allait être comme ça. On ne m’en avait jamais parlé”, a-t-elle confié au sujet de la cérémonie à l’église de la Madeleine.
Mais le choc a surtout été l’enterrement à Saint-Barthélemy. Un lieu choisi selon les dernières volontés de Johnny Hallyday mais qui a surpris Laura Smet et son frère. “Je n’étais pas au courant pour l’inhumation à Saint-Barth, je l’ai appris sur le moment et j’ai halluciné, a-t-elle assuré. David et moi étions estomaqués : ‘Ah bon, ok, d’accord’. On a suivi le mouvement pour être avec lui jusqu’au bout”. La sœur et le frère n’ont donc pas voulu faire de vague, avant la guerre qui a fini par éclater avec Laeticia au sujet de l’héritage.
VOIR LE :
Michel Sardou : Découvrez sa somptueuse villa à Bormes-les-Mimosas… Un véritable paradis caché !
Le chanteur a acheté une immense villa luxueuse dans le Sud de la France.
Il a quitté la Normandie pour une splendide propriété ensoleillée, une immense villa de haut luxe dans le style provençal, avec piscine à débordement, pelouse manucurée, salle de cinéma et vue panoramique sur la Méditerranée. Même s’il est né à Paris, Michel Sardou est du Sud et il y revient ! Après avoir vendu son manoir de Normandie où il vivait depuis 15 ans et soldé sa passion des chevaux de course, le chanteur est devenu l’heureux propriétaire de cette maison de prestige du cap Bénat, à Bormes-les-Mimosas, dans le Var. De là, il domine l’île du Levant et celle de Port-Cros, mais aussi le Cap Nègre où il pourra rendre visite au couple Sarkozy/Bruni qu’il compte parmi ses amis. Il réside dans un domaine privé et sécurisé, au calme. On note aussi l’existence d’un petit port privé à proximité pour les excursions en mer. Le choix est parfait, dans un coin recherché où il fait beau 300 jours par an. De quoi lui rappeler son ancienne maison de vacances en Corse.
Bref, Michel Sardou veut s’offrir le soleil garanti pour les prochaines années… quand il se reposera de ses tournées harassantes. Ses parents étaient méridionaux, avec l’accent. Il s’en est souvenu après avoir vécu à Miami, à Megève et près de Deauville. Sa femme s’est occupée de tout, déménagement, formalités, travaux, embellissement. Lui se laisse vivre, comptant sur sa moitié pour aménager leur paradis terrestre. Les photos laissent deviner une maison spacieuse d’un étage, tout en longueur.
Il reste propriétaire d’un appartement dans le 16e arrondissement de Paris, une ville « que je ne reconnais plus », dit-il avec regret, où il ne retourne que pour remplir ses obligations. La villa « La Sorga » l’attend fin mars au terme de sa tournée. De là, il peut contempler son nouveau décor au pied des plages de sable fin et des falaises baignées de lumière, rafraîchi par la pinède. Ces biens d’exception se négocient plusieurs millions d’euros.