Ce week-end du 21 juin, Giulia Sarkozy s’en souviendra. La jeune adolescente de 13 ans a participé à un rendez-vous équestre majeur, qui rassemble chaque année de grands talents et de nombreuses personnalités, le Longines Paris Eiffel Jumping.
La fille de Carla Bruni a fait de l’équitation sa passion depuis son plus jeune âge. En lice pour la Kids Cup L’Envol, la fille du mannequin et l’ancien Président de la république Nicolas Sarkozy a pu briller à l’occasion de cette 11e édition devant de nombreuses personnalités présentes, à l’image de Guillaume Canet, Hélène Darroze, Josiane Balasko et son mari George Aguilar, Karine Silla, Vincent Perez, ancien compagnon de Carla Bruni, et leur fille Iman, Roxane Depardieu ou encore Patrick Timsit et Jean-Charles de Castelbajac. Et bien sûr elle a pu compter sur le soutien sans faille de sa mère, avec laquelle elle est très fusionnelle.
Une maman fusionelle mais aussi inquiète. Et notamment lorsque sa fille chérie monte à cheval. Mais Carla Bruni a su trouver la solution pour s’éviter des crises de foie. “Mais je suis toujours un peu inquiète, admet-elle auprès de Paris Match ce jeudi 26 juin, à qui elle a accordé avec sa fille un entretien. Les chutes peuvent être dangereuses. Heureusement, il existe aujourd’hui des gilets airbags pour calmer mes petites angoisses de maman.” L’airbag cheval est une innovation des plus récentes en matière de protection du cavalier, et avec le casque d’équitation et le gilet de protection, il complète un équipement de sécurité.
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À 13 ans, Giulia Sarkozy est influenceuse : sa mère Carla Bruni veille au grain
Si les chutes à cheval inquiètent Carla Bruni, l’est-elle aussi par l’utilisation qu’a sa fille des réseaux sociaux ? À tout juste 13 ans, Giulia Sarkozy est déjà influenceuse. Avec ses 40 000 abonnés sur Instagram, elle peut déjà travailler avec des marques et proposer des codes promos. Elle fait régulièrement appel à des photographes, et possède même sa propre community manager.
Sur TikTok, elle livre un pan de sa vie bien plus intime, partageant des vidéos d’elle où elle danse, chante ou se maquille. Mais ses parents veillent et valident le contenu qu’elle publie. Elle a bénéficié des conseils de sa mère, ne jamais lire ce qui est écrit sur soi. Et Giulia Sarkozy semble avoir une tête bien faite. “Si on n’y pense pas, ça n’existe pas, souligne l’adolescente au sujet de la haine en ligne. Les commentaires sur les réseaux sociaux, on peut totalement en faire abstraction. D’autant que, deux jours plus tard, ils sont noyés dans le flot.” Ainsi si Carla Bruni peut compter sur le airbag pour calmer ses angoisses lorsque Giulia est à cheval, sur les réseaux sociaux, c’est la maturité de sa fille qui peut s’en charger.