Après plus d’une décennie à incarner les week-ends de l’information sur TF1, Audrey Crespo-Mara a quitté le JT en toute simplicité, après un “été douloureux” marquée par le décès de son mari Thierry Ardisson, le 14 juillet 2025.

Audrey Crespo-Mara : son dernier JT sur TF1

Après onze ans de journaux télévisés, la présentatrice phare du week-end sur TF1 quitte le journal télévisé. L’animatrice a remercié chaleureusement les téléspectateurs, ainsi que ses collègues de TF1.

« Permettez-moi de remercier toutes celles et ceux qui à TF1 m’ont merveilleusement accompagnée pendant cet été douloureux. Vous remercier aussi pour votre fidélité derrière l’écran, et ici à TF1. Vos attentions me vont droit au cœur, où se trouve l’homme que vous connaissez, et que j’aime éperdument. Merci infiniment. À bientôt », a-t-elle déclaré, émue, face caméra dimanche soir.

Audrey Crespo-Mara : sa bastide discrète dans le Luberon, acquise avec Thierry Ardisson peu avant son décès

La maison est située à proximité de Bonnieux, sans aucun voisin ni passage. Au lieu du luxe ostentatoire, le couple a préféré l’isolement rustique. Le nouveau refuge de l’animatrice s’efface dans le paysage, invisible depuis la route, loin des villas de magazine. Thierry Ardisson était lui-même originaire du Sud de la France ,« Je suis de Nice », avait-il rappelé dans les colonnes de Gala,.

À l’intérieur, l’ambiance est authentique et apaisée : murs blanchis à la chaux, tapis tissés, mobilier brut. Le silence y est omniprésent. Chaque ouverture donne sur la garrigue. Ici, rien ne distrait. Tout invite à ralentir.

Audrey Crespo-Mara : son sublime appartement à Montmartre

Le reste de l’année, Audrey Crespo-Mar est installée dans un appartement à Montmartre, Elle a choisi un quartier incarnant la vitalité artistique et culturelle de Paris. À l’image des artistes qui ont façonné la Butte, elle vit désormais dans un lieu empreint de charme et d’histoire, où se mêlent intimité et esprit bohème.

Ce choix urbain, contrastant avec leur refuge provençal, reflète un désir de mobilité et de partage entre deux univers : l’un bucolique, apaisant; l’autre actif, inspirant. À Montmartre, elle puise peut-être l’énergie nécessaire pour se réinventer, dans un décor vivant qui stimule la créativité autant qu’il respecte la discrétion.