Ce vendredi 28 février, sur les planches scintillantes de l’émission Danse avec les stars diffusée sur TF1, Sophie Davant a foulé le parquet avec détermination. Loin d’un simple divertissement, cette expérience s’est révélée être une véritable épreuve de volonté. Toutefois, la pétillante animatrice n’a rien laissé transparaître de ses doutes et a livré une prestation empreinte de résilience, galvanisée par une présence chère à son cœur : celle de son compagnon de vie, William Leymergie.

L’ex-journaliste et présentateur légendaire, fort d’un demi-siècle d’expérience dans l’audiovisuel, trônait parmi les spectateurs avec un regard bienveillant et ému. Cette apparition, à la fois discrète et symbolique, fut l’occasion d’un rare instant d’émotion brute à la télévision. À l’issue de la prestation de Sophie, les projecteurs se sont braqués sur une scène aussi douce que sincère : la danseuse du soir s’est précipitée dans les bras de son amoureux, y trouvant un refuge affectueux, scellé par un baiser tendre et pudique.

Ce tableau d’intimité partagée n’a échappé ni aux caméras, ni au public. Camille Combal, maître de cérémonie de la soirée, n’a pas résisté à l’envie de sonder les émotions de William Leymergie. D’un ton amusé, ce dernier a lancé, avec une dose d’autodérision : « Je ne saurais dire qui était le plus nerveux ce soir… moi ou elle ! » Un rire complice a parcouru le studio, révélant un homme aussi investi que touché. Puis, abandonnant la légèreté pour des mots plus solennels, il a rendu hommage à sa compagne : « Elle est exceptionnelle, peu importe la situation. Bravo à elle. » Ces paroles, épurées mais puissantes, ont sans doute réchauffé le cœur de Sophie Davant, qui, quelques heures plus tôt, déclarait lors des répétitions : « J’ai envie de lui plaire. Dans un couple, admirer l’autre est essentiel. »

Malheureusement, cette performance, aussi touchante fût-elle, n’a pas suffi à la préserver de l’élimination. Le verdict du jury, bien qu’élogieux quant à sa combativité, a scellé son départ. Pourtant, cette éviction n’a en rien terni la prestance de la candidate ni l’élan d’admiration suscité dans l’audience.

Une admiration profonde tissée d’années et d’épreuves

William Leymergie n’a jamais caché son scepticisme initial face à l’implication de Sophie dans cette aventure chorégraphique. Lui, homme de rythme bien différent, voyait d’un œil prudent cette immersion dans un univers aussi exigeant physiquement que mentalement. Toutefois, face à l’ardeur de sa bien-aimée, il s’est peu à peu laissé convaincre.

Dans un entretien croisé accordé à Figaro TV Magazine, paru ce même vendredi, l’ancien présentateur de Télématin s’est confié sans fard sur cette métamorphose intérieure. « Elle possède une volonté farouche, presque déroutante. L’énergie qu’elle investit là-dedans est tout bonnement saisissante », a-t-il révélé. Il a ensuite illustré ses propos par une anecdote révélatrice du quotidien exigeant de sa compagne : « Elle quitte la maison à 11h du matin, n’en revient qu’à 20h… »

Ces confidences tissent le portrait d’une femme guidée par la passion, et d’un homme profondément admiratif de cette flamme intérieure qui ne faiblit jamais. Leur relation, soudée par le respect mutuel et la tendresse partagée, illumine d’une lumière rare les projecteurs parfois cruels du petit écran.