Préparez-vous à être surpris ! Le lundi 10 mars prochain, TF1 lancera Carpe Diem, sa nouvelle série inédite portée par Samuel Le Bihan. Une fiction très loin d’Alex Hugo ou Seul, son unitaire sur France 2 qui “lui ressemble beaucoup plus“, comme l’acteur nous l’a confié dans un long entretien à découvrir dans notre podcast Dhombres et de lumière.

Il y campe le personnage principal, Tom Villeneuve, tout juste sorti de prison après 17 ans derrière les barreaux après avoir été accusé à tort du meurtre de sa femme. C’est là qu’il a appris le droit et est devenu avocat… Un personnage solaire et surprenant, pour lequel Samuel Le Bihan n’a pas boudé son plaisir.

Carpe Diem : Samuel Le Bihan ravi de son nouveau projet, “beaucoup plus humoristique, beaucoup plus décalé”

Il y retrouve par ailleurs Julien Guérif et Pierre Isoard, avec lesquels il avait déjà travaillé à de nombreuses reprises. “Avec Julien [Guérif] et Pierre [Isoard], on avait déjà fait T’en fais pas, j’suis là, sur un père qui découvrait l’autisme de son enfant, et avec Julien – coécrit avec Charlotte Pons – Tu ne tueras point, où j’étais l’avocat d’une mère qui tue son enfant. Et ensuite on a fait Seul, sur l’histoire de Yves Parlier pendant le Vendée Globe” rappelle Samuel Le Bihan. “Et là, on se retrouve sur quelque de chose de beaucoup plus humoristique, beaucoup plus décalé. (…) Là, ça me ressemble beaucoup plus“. Un projet créé avec deux hommes avec lequel Samuel Le Bihan aime collaborer. Pourtant, ce dernier concède un “défaut” qui peut parfois avoir des répercussions dans ce milieu professionnel

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Ainsi, alors qu’on lui demande si, selon lui, il a créé une famille dans le cinéma et dans ce métier, sa réponse est limpide et très lucide sur ce milieu : “Non, je suis un peu solitaire, moi” avoue-t-il. “C’est un peu mon défaut : c’est que je n’ai pas créé de famille qui me ressemble, à part avec Pierre, Julien, où on se retrouve et on s’est connus sur plein de projets et on partage les mêmes désirs, les mêmes envies, les mêmes sensibilités, les mêmes plaisirs de travailler… Mais oui, je n’ai pas le réflexe de travailler mon réseau, de travailler cette fidélité, de rappeler les gens. Je ne fais pas attention à ça, je ne fais pas gaffe. C’est important de le faire, et je ne suis pas câblé tellement pour ça” explique Samuel Le Bihan. Cela ne l’aura pas empêché toutefois de se créer son cocon, avec lequel il a pu travailler sereinement à des projets qui lui tenaient à cœur…

La suite de cette rencontre est disponible sur le podcast Dhombres et de Lumières, ainsi que les rencontres avec Catherine Davydzenka, Olivier Marchal, Audrey Fleurot, Nolwenn Leroy, Kamel Belghazi, ou encore Cécile Bois, entre autres !