Adriana Karembeu vit un quotidien apaisé avec Marc Lavoine, depuis maintenant plusieurs mois.

En effet, il y a quelques semaines, l’ancien top model et son amoureux ont décidé d’officialiser leur relation amoureuse.

Si Marc Lavoine donne de nombreux détails sur ses sentiments, voilà que l’ancienne acolyte de Michel Cymès a donné une réponse étonnante à nos confrères de Nice-Matin

dans une interview publiée ce jeudi 31 octobre 2024.

Le journaliste a alors indiqué avoir demandé à Thierry Ardisson de lui donner une question à poser à Adriana Karembeu. La voici : “De près, il est moins beau qu’à la télé Marc Lavoine ?”. De quoi faire exploser de rire la mère de Nina : “What ? Il est mieux en vrai. Et en plus, il a un cerveau. Je n’en dirai pas plus. J’ai toujours tout dit sur ma vie personnelle, mais il y a un temps pour ça”.

Adriana Karembeu se confie sur le temps qui passe
Une réponse sans filtre. Lors de cette interview, Adriana Karembeu revient aussi sur le temps qui passe, elle qui a célébré ses 53 ans en septembre dernier. “Quand on descend de la colline, on peut trébucher. Je n’ai pas encore eu de signe inquiétant, mais ça va venir. Forcément. Alors, je fais attention à mon hygiène de vie”, confie-t-elle.

Ainsi, elle suit un régime stricte : “Depuis trois ans, je ne mange pratiquement plus de sucre. C’est ce qu’il y a de pire et comme je veux rester… canon. La nourriture, c’est mortel à cet âge. Et puis, je me suis mis à la musculation avec mon ex-mari. Avant, je courais beaucoup, mais je détestais ça. Et ça ne se voyait pas sur mon corps”.

“La beauté, c’est une forme de pouvoir”
Si elle prend soin d’elle Adriana Karembeu a, comme tout le monde, vu les traces des années qui passent sur sa peau : “Quand j’ai vu ma première ride à 40 ans, tout ça devenait concret. Je m’étais toujours dit que ça ne m’arriverait pas, à moi. Alors que je me plaignais de plein de choses, ma mère, qui était très belle, m’a toujours encouragé à profiter de ma jeunesse”.

Alors pour Adriana Karembeu, il a fallu du temps pour accepter cette fatalité : “Pour elle, vieillir, c’était moche. Elle me disait que j’allais beaucoup pleurer. La beauté, c’est une forme de pouvoir. C’est compliqué de la voir s’envoler pour une jolie femme.”