C’est une annonce qui a pris tout le monde de court, une nouvelle qui bouleverse autant le monde des médias que celui de la littérature : après quinze ans d’amour, Faustine Bollaert et Maxime Chattam ont décidé de se séparer.

Une séparation que peu avaient vu venir, tant leur couple semblait solide, uni, complémentaire. Mais selon les révélations du magazine Voici, c’est bel et bien l’animatrice phare de France Télévisions qui a pris cette décision lourde de sens : mettre un terme à son histoire avec le célèbre auteur de thrillers.

Tout semblait pourtant aller pour le mieux. Faustine Bollaert, incarnation de l’écoute et de la bienveillance, touche chaque jour des millions de téléspectateurs dans Ça commence aujourd’hui.

Elle accompagne les récits de vies brisées, les blessures humaines, avec une douceur et une compassion saluées par tous. Mais derrière ses sourires à l’écran, le cœur, lui, aurait vacillé depuis un moment.

Leur rencontre, en 2010, avait tout d’un roman. À l’époque, Faustine anime une émission sur Europe 1. Maxime Chattam, invité du jour, entre en studio. L’alchimie est immédiate. Elle confiera plus tard : « Pendant cette émission, je me suis dit que c’était l’homme de ma vie. »

Lui est fasciné par sa spontanéité, elle est captivée par la profondeur de son regard et de sa plume. De cette rencontre fulgurante naît une grande histoire d’amour, scellée par un mariage en 2012, et surtout par la naissance de deux enfants :

Abbie, née en 2013, et Peter, en 2015. Une famille soudée, un foyer équilibré, une admiration mutuelle exprimée à de nombreuses reprises dans les médias.

Et pourtant, comme dans tant d’histoires, le temps et les différences ont creusé des failles. Selon Voici, c’est Faustine Bollaert elle-même qui aurait initié cette séparation. Les raisons précises n’ont pas été confirmées, mais les proches du couple évoquent une forme d’usure, des trajectoires de vie qui s’éloignent peu à peu, des envies différentes, des priorités qui changent.

Faustine, très investie dans sa carrière télévisuelle, enchaîne les projets. Bientôt, elle incarnera de nouveaux formats sur France 3, toujours centrés sur l’humain, l’intime, le vrai — des thématiques qui lui tiennent à cœur. Elle semble aspirer à plus de liberté, plus d’espace personnel, peut-être à un nouveau souffle après des années consacrées à sa famille et à son travail.

Et Maxime Chattam dans tout cela ? Fidèle à lui-même, l’écrivain reste silencieux dans les médias. Il ne s’est pas encore exprimé sur cette rupture. Mais ceux qui le connaissent savent combien il était investi dans sa relation, combien il soutenait Faustine, notamment lorsqu’elle rentrait bouleversée de tournage, chargée des récits poignants qu’elle entend au quotidien. Il était son pilier discret, son confident, son refuge.

Le choc est d’autant plus grand que le couple apparaissait comme l’un des plus stables du paysage médiatique français. Loin des paillettes, ils avaient choisi la discrétion, la simplicité, et affichaient une complicité évidente.

Mais comme souvent, même les plus belles histoires comportent des fragilités invisibles. Le temps, les rythmes professionnels intenses, les besoins personnels évoluent. Et parfois, il faut avoir le courage de dire stop avant que l’attachement ne remplace l’amour.

Aujourd’hui, Faustine Bollaert tourne une page. Selon certains proches, elle s’apprête à écrire un nouveau chapitre de sa vie — plus personnel, plus aligné avec ses aspirations profondes. Elle ne renie rien de ce qu’elle a vécu avec Maxime Chattam, bien au contraire. Mais elle semble prête à avancer, à se reconstruire, à se recentrer.

Le magazine Voici promet de dévoiler dans son édition du 11 juillet les coulisses de cette séparation : les tensions, les émotions, mais aussi les espoirs. Car si une rupture est toujours douloureuse, elle peut aussi être le début d’un renouveau.

Faustine Bollaert, mère attentive, animatrice engagée, femme libre et affirmée, entame une nouvelle étape de son existence avec la même dignité qui la caractérise à l’écran. Elle n’a pas dit son dernier mot — ni en tant que professionnelle, ni en tant que femme.