Couple discret mais qui dure, Nolwenn Leroy et Arnaud Clément filent le parfait amour depuis janvier 2008. Un bonheur qui doit toutefois composer avec la bigorexie, cette drôle de maladie dont souffre l’ancien tennisman. Explications sur cette pathologie, évoquée tout récemment par la chanteuse elle-même.

En couple depuis plus de 15 ans avec Arnaud Clément, Nolwenn Leroy a trouvé son équilibre parfait dans sa vie sentimentale. Le duo, qui a accueilli un petit Marin en 2017, se fait plutôt discret dans la presse, mais tout roule entre la chanteuse et l’ancien tennisman au revers de velours. D’ailleurs, l’interprète de « Cassé » vante régulièrement les mérites de son compagnon en interview.

Arnaud Clément touché par une étonnante addiction

Comme l’on peut s’en douter lorsqu’on vit avec un ancien sportif de très haut niveau, le sport fait partie du quotidien du couple. Néanmoins, au-delà d’une simple pratique assidue mais raisonnable, Arnaud Clément souffre de la « maladie du sport », pour reprendre les propos de Nolwenn. Elle expliquait ainsi récemment dans l’émission « Les chemins de traverse » :

J’adore la rando. Mais je fais des petites rando parce qu’en famille, mon garçon est encore petit et puis souvent il veut qu’on le prenne sur les épaules. Il est un peu feignant. J’ai toujours aimé l’endurance. Je fais un peu de tennis. Mais forcément maintenant… je suis obligée. Je vis avec un bigorexique, c’est à dire la maladie du sport donc forcément ça me pousse un peu, ça me motive.

Pour compléter les propos de la chanteuse, sachez que la bigorexie est une réelle maladie, reconnue par l’OMS depuis 2011. Elle se caractérise par une dépendance physique et surtout psychologique à l’activité sportive. Le Larousse en donne la définition suivante :

Addiction caractérisée par un besoin irrépressible de pratiquer intensivement une activité sportive, malgré le risque de blessure ou d’épuisement et, parfois même, aux dépens de sa vie professionnelle et familiale.

En clair, Arnaud Clément ne peut pas s’empêcher de faire du sport, pas forcément par plaisir, mais par besoin. Une drôle de pathologie qui n’est encore que peu évoquée en France, même si l’ancien footballeur Bixente Lizarazu s’était également défini comme bigorexique. Mais l’est-il vraiment ? En effet, pour lui, il s’agit simplement du pur plaisir de faire du sport, comme il l’avait précisé après des articles de presse sur le sujet :