Dans une récente interview accordée à notre magazine, Sylvie Vartan a ouvert son cœur pour parler des liens profonds et affectueux qui la lient à sa petite-fille, Ilona, ainsi qu’à sa fille adoptive, Darina.
L’histoire de cette famille s’est enrichie en 1998, lorsque Sylvie Vartan, déjà mère de David, âgé de 32 ans à l’époque et lui-même père d’une petite Ilona, a pris la décision d’adopter Darina. Le prénom de cette dernière, “cadeau de Dieu”, résonne avec une signification toute particulière. Darina était née sept mois plus tôt en Bulgarie, le pays natal de la célèbre chanteuse.
Dans cette entrevue, Sylvie Vartan partage les motivations qui l’ont poussée à entreprendre cette démarche, un projet qu’elle avait gardé précieusement dans son cœur depuis de nombreuses années. Tout d’abord, il y avait cette volonté de donner une nouvelle dimension à sa relation avec Tony Scotti, son compagnon de l’époque.
Elle confie : “Je savais que je passerais à côté de ma vie avec Tony si nous n’avions pas d’enfant ensemble”. C’était un désir profondément enraciné, qui ne faisait que croître au fil des visites émouvantes auprès de sa petite-fille : “À l’époque, ma première petite-fille, Ilona, la fille de David et Estelle, était encore un bébé. Dès que je la quittais, c’était un déchirement. Cette situation m’étouffait.”
Mais il y avait également une autre motivation, celle de rendre le bonheur qu’elle avait reçu. Sylvie Vartan explique : “J’avais toujours souhaité adopter, je pensais que la vie m’avait gâtée et que je pouvais redonner de l’amour à n’importe quel enfant. Quand David était petit, nous avons organisé un Noël pour les orphelins à la maison, avec Johnny.
Ce jour-là, une fillette m’a pris la main et ne l’a plus lâchée de l’après-midi. Ça m’avait brisé le cœur. Je m’en souviens comme si c’était hier.” Cette expérience a profondément marqué Sylvie Vartan et a contribué à renforcer sa conviction que l’adoption était la voie qu’elle devait suivre pour étendre sa famille et offrir son amour à un enfant qui en avait besoin.
Cette décision d’adopter Darina a non seulement comblé Sylvie Vartan et Tony Scotti, mais elle a également tissé des liens familiaux forts et emplis d’amour, notamment entre Sylvie, Ilona, et Darina. Cette histoire souligne l’importance de l’amour, de la famille et de la volonté de rendre le bonheur reçu, un sentiment qui transcende les frontières et les liens biologiques pour créer des relations profondes et significatives
À 80 ans, Sylvie Vartan ne cesse de toucher par sa sincérité, sa tendresse et son profond sens de la famille. Lors d’une récente interview émouvante, la chanteuse iconique s’est livrée avec pudeur sur les liens indéfectibles qu’elle partage avec sa fille adoptive Darina, ainsi qu’avec sa petite-fille Ilona, la fille de David Hallyday. Des liens que rien ne distingue dans leur intensité, si ce n’est peut-être la façon profondément singulière dont ils se sont tissés.
Tout commence en 1998, lorsque Sylvie, déjà maman de David, alors âgé de 32 ans et jeune papa d’Ilona, ressent un appel du cœur. Elle prend une décision bouleversante : celle d’adopter une petite fille bulgare, née sept mois plus tôt, prénommée Darina. Un prénom qui signifie « cadeau de Dieu » – et qui n’aura jamais aussi bien porté son nom.
La Bulgarie, pays natal de Sylvie Vartan, n’est pas choisie au hasard. Il s’agit d’un retour aux racines, d’un lien intime entre ses origines et ce geste de transmission d’amour. Depuis longtemps, Sylvie rêvait d’élargir sa famille, d’offrir à un enfant ce que la vie lui avait donné en abondance : l’amour, la stabilité et l’attention.
Elle confie :
« Je savais que je passerais à côté de ma vie avec Tony si nous n’avions pas d’enfant ensemble. »
Cette envie d’enfant avec Tony Scotti, son compagnon de l’époque, s’est donc muée en projet d’adoption. Mais ce désir était plus ancien encore. Sylvie se souvient d’un épisode marquant : un Noël passé avec Johnny Hallyday, où ils avaient invité des orphelins à la maison. Une petite fille lui avait alors pris la main, sans plus jamais la lâcher de toute la journée.
« Ce jour-là, mon cœur s’est brisé », se souvient-elle.
Cet instant, gravé dans sa mémoire, a nourri une certitude : elle devait adopter. Pas pour combler un vide, mais pour partager l’amour qu’elle avait tant reçu, pour redonner ce qu’elle estimait être un cadeau de la vie.
L’arrivée de Darina n’a pas seulement transformé la vie de Sylvie et Tony, elle a également renforcé les liens familiaux. Entre Darina et Ilona, un lien complice s’est tissé, doux, naturel, presque fraternel. La famille s’est élargie, mais surtout, elle s’est enrichie d’une histoire humaine puissante, faite de choix, d’engagements et de tendresse.
En racontant ce chapitre de sa vie, Sylvie Vartan nous offre une leçon de générosité et de transmission. Elle rappelle que la famille ne se limite pas aux liens du sang, mais qu’elle est avant tout faite de regards partagés, de gestes sincères, et de cœurs qui battent à l’unisson.
À travers Darina, Sylvie a redonné un sens nouveau à la maternité. Une maternité choisie, affirmée, lumineuse. Une preuve supplémentaire que les plus belles histoires de famille sont parfois celles qu’on décide d’écrire soi-même.