Si Théo Curin a fait de son handicap sa plus grande force, il sait que son destin aurait pu être différent s’il avait été informé des symptômes de la méningite. Il révèle d’ailleurs qu’il aurait pu éviter d’être amputé des quatre membres.
Six ans. C’est l’âge qu’avait Théo Curin lorsqu’il a contracté la méningite à méningocoque de type C. Une maladie grave, potentiellement mortelle, contre laquelle la vaccination est obligatoire pour les nourrissons depuis 2018. Malheureusement,
le jeune sportif est arrivé beaucoup trop tard à l’hôpital et les médecins n’ont pas eu d’autre choix que d’amputer ses quatre membres.
Théo Curin a dû apprendre à se déplacer en fauteuil puis à l’aide de ses prothèses. Dans son long combat, celui qui a pris la place de Cyril Féraud aux commandes de Slam a pu compter sur le soutien sans faille de sa maman.
“Mes parents ont mis beaucoup d’énergie après mon hospitalisation pour trouver des solutions, pour améliorer mon quotidien. Ma maman avait même arrêté de travailler pour s’occuper de moi”, révélait-il récemment sur Sud Radio. Malheureusement, comme toutes les personnes en situation de handicap, Théo Curin a souffert du regard des autres. Dans Closer ce 20 septembre, il a fait part d’une expérience totalement lunaire vécue dans un train, lorsqu’une femme a demandé à sa mère si ce qu’il “avait était contagieux”. “Si ma mère l’a rassurée, elle est quand même allée voir le contrôleur pour qu’il vienne poser lui-même la question. Puis, elle a changé de place. Sur le moment, cette situation m’a beaucoup peiné mais, aujourd’hui, j’en rigole !”, a-t-il confié.
Théo Curin rappelle les symptômes de la méningite
Au cours de ce même entretien, Théo Curin en a profité pour revenir sur le jour où il a contracté la méningite. L’occasion pour lui de rappeler son engagement pour la campagne de sensibilisation à la vaccination. “Le vaccin contre la méningite à méningocoques existe et sauve des vies. La méningite est une course contre la montre”, insiste-il. Raison pour laquelle il tient à rappeler les premiers symptômes de la maladie : “raideur de la nuque, fièvre, vomissements”. “Si, en 2006, nous en avions été informés, j’aurais été traité rapidement par antibiotiques et, par conséquent, pu éviter l’amputation”, a-t-il dévoilé. Une maladie contre laquelle il n’y a pas une seconde à perdre.
Michel Sardou : Découvrez sa somptueuse villa à Bormes-les-Mimosas… Un véritable paradis caché !
Le chanteur a acheté une immense villa luxueuse dans le Sud de la France.
Il a quitté la Normandie pour une splendide propriété ensoleillée, une immense villa de haut luxe dans le style provençal, avec piscine à débordement, pelouse manucurée, salle de cinéma et vue panoramique sur la Méditerranée. Même s’il est né à Paris, Michel Sardou est du Sud et il y revient ! Après avoir vendu son manoir de Normandie où il vivait depuis 15 ans et soldé sa passion des chevaux de course, le chanteur est devenu l’heureux propriétaire de cette maison de prestige du cap Bénat, à Bormes-les-Mimosas, dans le Var. De là, il domine l’île du Levant et celle de Port-Cros, mais aussi le Cap Nègre où il pourra rendre visite au couple Sarkozy/Bruni qu’il compte parmi ses amis. Il réside dans un domaine privé et sécurisé, au calme. On note aussi l’existence d’un petit port privé à proximité pour les excursions en mer. Le choix est parfait, dans un coin recherché où il fait beau 300 jours par an. De quoi lui rappeler son ancienne maison de vacances en Corse.
Bref, Michel Sardou veut s’offrir le soleil garanti pour les prochaines années… quand il se reposera de ses tournées harassantes. Ses parents étaient méridionaux, avec l’accent. Il s’en est souvenu après avoir vécu à Miami, à Megève et près de Deauville. Sa femme s’est occupée de tout, déménagement, formalités, travaux, embellissement. Lui se laisse vivre, comptant sur sa moitié pour aménager leur paradis terrestre. Les photos laissent deviner une maison spacieuse d’un étage, tout en longueur.
Il reste propriétaire d’un appartement dans le 16e arrondissement de Paris, une ville « que je ne reconnais plus », dit-il avec regret, où il ne retourne que pour remplir ses obligations. La villa « La Sorga » l’attend fin mars au terme de sa tournée. De là, il peut contempler son nouveau décor au pied des plages de sable fin et des falaises baignées de lumière, rafraîchi par la pinède. Ces biens d’exception se négocient plusieurs millions d’euros.