Elle préfère ne pas s’en préoccuper. Exposé médiatiquement, notamment depuis qu’elle fait partie de l’équipe des chroniqueurs de TPMP, Géraldine Maillet est régulièrement la cible des critiques, voire des attaques. Mais elle préfère les ignorer. « Je ne regarde plus les commentaires depuis des années. Ça ne m’intéresse pas. Ce n’est pas la vraie vie », a-t-elle confié au micro de Sud Radio, vendredi 4 octobre 2024.

Géraldine Maillet n’a donc pas vu les critiques sur son livre, Ma minuscule (éditions Harper Collins), qui raconte l’AVC de sa grand-mère, comme celui-ci, cité par le présentateur de Sud Radio Gilles Ganzmann : « Ça ne m’étonne pas d’elle qu’elle fasse de l’argent sur le décès de sa grand-mère, elle est prête à tout. » « Elle est vivante ma grand-mère », a-t-elle rétorqué, qualifiant les commentaires de « sorte de caniveau de la pensée ». « Franchement, je vous assure, pour moi, ces commentaires de rageux, de haters, ce n’est pas la vraie vie. La vraie vie, c’est nous aujourd’hui qui parlons ensemble, c’est ma famille, ce sont mes amis, ce sont des moments partagés de vie et de convivialité. »

« Ce n’est rien, c’est du vent. C’est une bulle spéculative qui ne m’intéresse pas », a-t-elle continué, avant de révéler qu’elle avait tout de même engagé une action en justice : « J’ai porté plainte une fois sur un post qui était complètement diffamatoire et faux. La justice est très longue mais j’ai quand même porté plainte. » Géraldine Maillet attend toujours que l’affaire soit jugée. « Je vous assure, ça ne m’atteint pas. Je ne regarde pas, je le découvre maintenant quand vous me le dites. Je ne regarde pas, je trace. C’est quelque chose qui n’existe pas. »

Même constat du côté de son compagnon, Dianel Riolo, commentateur sportif souvent exposé aux critiques acerbes. « Mon compagnon, nous en parlions tout à l’heure, il se prend aussi parfois des torrents de haine quand il critique un joueur ou quand il fait un mauvais commentaire sur un match », a-t-elle indiqué. Mais, comme elle, il n’en fait pas grand cas. « Franchement, c’est le cadet de ses soucis. »